Sous le haut patronage de

Monsieur Emmanuel Macron

Président de la République

EMERGING Valley 2021 : revivez les moments clés du Stage 3 !

Un stage entièrement consacré aux Ecosystèmes tech et à leurs acteurs : si vous les avez manqués le 14 décembre, obtenez les clés pour choisir votre programme d’accompagnement auprès des Lauréats du programme EMERGING Mediterranean, découvrez les formidables innovations des Étudiants-entrepreneurs ayant créé leur startup, rencontrez les acteurs de l’innovation sur le territoire Aix-Marseille-Provence, les African Science-Preneurs ou encore les acteurs citoyens en Méditerranée. Une plongée dans les univers tech à l’initiative entre l’Europe et l’Afrique !

Exclusivement digital, le stage 3 aura réuni nos invités issus des quatre coins du continent au cours de 2 masterclass et 10 ateliers, offrant chacun des clés pour mieux comprendre les écosystèmes tech en Afrique comme en Europe, ainsi que les meilleures façons de travailler ensemble !

5 ateliers ont en effet eu pour thème principal des initiatives venus d’institutions européennes en faveur de l’entreprenariat et de la Tech en Afrique. L’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF), partenaire historique d’EMERGING Valley, est venue évoquer son rôle auprès de la jeunesse africaine en animant un débat sur les étudiants-entrepreneurs en Afrique et en présentant l’une de ses initiatives en faveur des entrepreneurs africains : le projet SAFIR.

Ce premier débat sur le statut d’étudiant-entrepreneur est venu montrer en quoi il pouvait favoriser l’intégration de cette jeunesse entreprenante et porteuse de solutions mais aussi de voir comment encourager au mieux les étudiants dans le développement de projets entrepreneuriaux, ou comment leur permettre d’allier études et entrepreneuriat.

De même pour l’atelier porté par l’institut français : réunis autour de Syma Mati, Chef de projet à l’Agence Universitaire de la Francophonie, des acteurs impliqués dans l’élaboration du projet SAFIR et des entrepreneurs africains bénéficiaires du projet sont venus présenter ce programme soutenu par la Commission européenne et qui se propose de transformer des idées innovantes portées par des jeunes de 9 pays méditerranéens en projets concrets au service du développement durable. Pour cela, les jeunes entrepreneurs et activistes bénéficiaires de SAFIR sont accompagnés et soutenus par des réseaux régionaux d’incubateurs, d’universités et d’organisations de la société civile.

L’AFD et ScaleChanger ont également dévoilé Scale Me Up, un outil innovant et ludique qu’ils viennent de développer pour préparer les entrepreneurs africains à des discussions avec des investisseurs. La session a permis de découvrir comment fonctionne la webapp et d’avoir des retours d’entrepreneurs l’ayant déjà utilisée.

L’IRD et Kedge Business School sont venus quant à eux mettre en valeur le réseau ACE PARTNERS des « African SciencePreneurs » autour de l’innovation digitale au service de l’entreprenariat universitaire en Afrique de l’ouest. L’atelier est venu rappeler les liens entre la science et l’entreprenariat, et comment les nouveaux outils digitaux peuvent accompagner les étudiants de la région vers la création de startups innovantes.

Pour finir, l’équipe de Bpifrance est venue présenter la plateforme de mise en relation entre startups, investisseurs et organismes d’aide aux entreprises Bpifrance EuroQuity. Lancée par Bpifrance en 2008, elle aide les startups à se connecter avec des investisseurs et des partenaires commerciaux en tirant parti d’un réseau de plus de 2 500 investisseurs (VCs, CVCs, réseau de BA…) et de 17 000 partenaires commerciaux (PME, entreprises…).

D’autres ateliers sont enfin venus orienter les débats sur des thématiques plus spécifiquement africaines. Organisé autour des lauréats de la seconde édition du programme EMERGING Mediterranean, le programme d’accélération d’EMERGING Valley en Méditerranée, l’atelier « Startups à impact en Méditerranée : comment choisir votre programme d’accompagnement ? » a ainsi cherché à donner des clés aux entrepreneurs du sud de la Méditerranée en recherche de programmes d’accélération adaptés à leurs besoins.

Toujours sur le stage 3, Hafou Touré-Samb et Mialy Ranaivoson, toutes deux expertes du financement des PMEs africaines, ont décrypté les enjeux et les outils financiers et non financiers qui peuvent servir de levier à l’entrepreneuriat féminin sur le continent, lors d’un atelier modéré par Marianne Vidal-Marin, directrice d’I&P Conseil.

Christian JEKINNOU, Directeur associé de Fanaka&Co, Agence panafricaine d’innovation et d’ingénierie de projets a pour sa part défini l’innovation « Made In Africa » lors d’une masterclass exclusivement consacrée au sujet.

L’atelier organisé par Digital Africa et modéré par Isadora Bigourdan, Directrice des programmes de Digital Africa, a souhaité évoquer le challenge de l’employabilité́ des jeunes africains dans l’économie digitale, ainsi que les meilleures façons de transformer le potentiel majeur que représente la jeunesse africaine, en vivier de talents numériques pour le continent comme pour le monde.

« Nous avons formé 36 000 personnes à travers 30 pays. Pendant la crise de la Covid, les entrepreneurs qui ont réussi à digitaliser leur vente sont ceux qui ont le mieux survécu à la crise » Camille Linquier, Responsable des Partenariats à l’African Management Institute

« 70% des entreprises du territoire se disent obligées de chercher des talents à l’international » Isadora BIGOURDAN, Directrice des programmes de Digital Africa

« La jeunesse a des idées, des envies, il faut leur donner des outils pratiques et non des formations paramétrées » David Pontalier, Co-fondateur d’Edtech Connections

Enfin, des startups greentech et agritech issues du programme SIBC et venues d’Afrique anglophone sont venues expliquer leurs actions en faveur des « clients du dernier kilomètre » lors d’un atelier modéré par les équipes d’EMERGING Valley.

« En raison des problèmes d’accès au stockage, nous avons aidé la population à avoir des aliments frais » – Rhona Birabwa, PDG d’OnaChil Food Store

« Nous avons aidé les agriculteurs à conserver la fraîcheur des produits et à les transformer en produits finis pour les vendre, c’est un service B to B » Eugene Osomobegbe, fondateur et PDG d’Osomobegbe Global Ventures Limited

Finalement, deux sessions étaient spécifiquement consacrées à l’entreprenariat tech en Méditerranée et en Provence. Les participants intéressés par l’aventure entrepreneuriale dans la région ont pu écouter une masterclass de Nolwenn Simonot, Responsable Développement Innovation Collaborative Internationale chez Bpifrance, qui leur a permis d’approfondir leurs connaissances sur ce qui compose cet écosystème et réfléchir à leur stratégie d’internationalisation en misant sur le levier de l’innovation.

« Pensez à l’écosystème technologique sur place, la collaboration R&D, la Méditerranée est une vraie chance pour développer vos idées », Nolwenn Simonot, Responsable Développement Innovation Collaborative Internationale chez Bpifrance

« Le paysage de la métropole s’est densifié, intensifié : il s’est amélioré et s’est complété de façon à ce qu’aujourd’hui on puisse couvrir toute la chaîne de valeur et tout le parcours de l’innovation pour accueillir de nouveaux porteurs de projets » Delphine Lapray, Directrice de l’innovation, de l’enseignement supérieure et de la recherche à la Métropole Aix Marseille Provence

La métropole Aix-Marseille-Provence est également venue présenter les atouts de son territoire au cours d’un atelier modéré par Szymon Jagiello, journaliste chez Forbes Afrique, et en présence de Laëtitia Biciacci, Manager opérationnel Prospection DSI chez Provence Promotion, Jean-Baptiste Geissler, Directeur général de la French Tech Aix-Marseille Région Sud et Delphine Lapray, Directrice de l’innovation, de l’enseignement supérieure et de la recherche à la Métropole Aix Marseille Provence.

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